Si vous avez déjà voyagé à l’étranger, vous avez vu les taux de change en action. Une année, votre livre vous achète deux cappuccinos à Rome, l’année suivante à peine un et demi. Pour les traders, ces fluctuations ne sont pas de simples anecdotes de vacances – ce sont des opportunités. La grande question est simple : qu’est-ce qui fait bouger les paires de devises ?
Il y a dix ans, la plupart des traders utilisaient à peine le terme ESG. Aujourd’hui, il est impossible de ne pas le connaître. Chaque gestionnaire de fonds, chaque titre de presse, chaque table ronde semble comporter ces trois lettres.
Forex Expo Dubai 2025 réunit des IB et des traders du monde entier. EC Markets, dans un partenariat ultime avec Liverpool FC, et son équipe mondiale sont impatients de rencontrer les participants et de partager leur expertise en trading.
Les banques centrales semblent enfin prêtes à relâcher la pression. Après deux ans de hausses agressives, les taux commencent à baisser. La Banque d’Angleterre a réduit son taux directeur à 4 % contre 5,25 %, la BCE l’a ramené à 2 % depuis son pic de 4 %, et la Fed a suivi avec une réduction la semaine dernière. L’inflation se calme également : l’IPC américain est tombé à 2,9 % en août, tandis que la zone euro est passée sous les 2 % en mai.
Les marchés ont enfin obtenu ce qu’ils attendaient depuis des mois : la première baisse des taux de la Fed depuis fin 2024. Cette décision est intervenue au cours d’une semaine où les données ont raconté deux histoires à la fois : l’inflation a montré de nouveaux signes de persistance, mais la dynamique globale est apparue suffisamment faible pour justifier un assouplissement.
Les traders à la Bourse de New York ont remarqué mercredi que le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a annoncé une réduction de 0,25% du taux directeur de la Fed. Il s'agissait de la première réduction des taux de la Fed depuis décembre dernier, abaissant le taux des fonds fédéraux à 4,00-4,25%.
Les marchés ont une drôle de façon de surprendre les gens. Une minute, ils sont stables, et la suivante, ils sont agités à cause d’un seul titre qui vient de tomber. Cela pourrait être des chiffres sur l’inflation, un rapport sur l’emploi choquant ou une allusion d’une banque centrale à laquelle personne ne s’attendait.
La deuxième semaine de septembre a été marquée par un équilibre entre des données plus faibles, la prudence des banques centrales et quelques tensions géopolitiques. Aux États-Unis, l’indice CPI d’août a augmenté de +0,4 % en glissement mensuel, portant le taux annuel à 2,9 %, son plus haut niveau depuis janvier. L’inflation sous-jacente (Core CPI) est restée stable à 3,1 %, ce qui a suffi à rassurer les investisseurs sur le fait que les pressions sous-jacentes ne s’emballent pas. Les prix à la production ont légèrement reculé après le pic de juillet, renforçant l’impression que l’inflation se modère, quoique lentement. En parallèle, le marché du travail a montré davantage de signes de faiblesse : le chômage est monté à 4,3 %, tandis que les créations d’emplois sont devenues négatives. Dans l’ensemble, ces données ont renforcé le message de Powell à Jackson Hole selon lequel la Fed est plus proche d’un assouplissement que d’un resserrement.
Vous est-il déjà arrivé de regarder la bourse en vous demandant : « par où commencer ? » Choisir des actions individuelles, c’est un peu comme piocher un chocolat dans une boîte sans connaître les parfums — excitant, mais aussi légèrement angoissant.
Le yen japonais est à la croisée des chemins. Après des années à jouer un double rôle — valeur refuge et monnaie de financement pour les carry trades — il aborde un tournant. La Banque du Japon (BoJ) laisse entrevoir la fin de son ère de taux ultra-bas : le yen retrouvera-t-il son statut de valeur refuge ou restera-t-il la monnaie de financement préférée du monde ?
L’inflation en zone euro a légèrement dépassé l’objectif de 2 % de la BCE, atteignant 2,1 %. À première vue, cela semble insignifiant, mais les traders prêtent attention à ces petits mouvements. La raison est qu’un dépassement, même modeste, peut influencer les attentes concernant les taux d’intérêt, et cela affecte rapidement les actions. Les marchés ont réagi en conséquence : le STOXX 600 a chuté d’environ 1,5 %, tandis que le DAX a reculé de plus de 2 % alors que les investisseurs réajustaient leurs portefeuilles. Même un petit mouvement dans les données réelles peut créer un effet d’entraînement sur les marchés.
Chaque fan de football connaît l’excitation qui précède un grand match, lorsque le compte à rebours commence et que chaque détail compte. Pour les professionnels, il s’agit d’entraînement, de stratégie et de concentration. L’équipe du Liverpool FC ne se contente pas de se présenter le jour du match : elle se prépare, analyse et répète chaque mouvement pour maximiser ses chances de victoire.
Vous est-il déjà arrivé de regarder un graphique de marché et de vous demander : mais que s’est-il passé ? Les prix montent un jour, chutent le lendemain, et les investisseurs restent perplexes. C’est cela, la volatilité. Certains la considèrent comme une menace, d’autres comme une opportunité, et bien souvent c’est un peu des deux. En réalité, sans volatilité, les marchés seraient sans vie. Parlons donc de ce qu’est vraiment la volatilité, pourquoi elle compte, et comment éviter qu’elle ne vous déstabilise.
Les traders tracent souvent de belles lignes horizontales sur les graphiques pour marquer les supports et les résistances, mais parfois ces niveaux semblent tenir fermement, et d’autres fois ils cèdent sans avertissement. Pourquoi cette différence ? La réponse réside généralement dans le volume.